Barcelone humilié chez lui : le PSG lui inflige une douche de réalité en Ligue des champions

Au stade de Montjuïc, ce qui devait être une soirée de confirmation pour le FC Barcelone s’est transformé en cauchemar. Le Paris Saint-Germain, privé de plusieurs cadres, est venu s’imposer 2-1 sur la pelouse catalane. Une victoire qui fait mal, tant la presse locale avait désigné le Barça comme favori. À l’arrivée, ce sont les Parisiens qui ont dicté leur loi, renvoyant leurs hôtes à leurs limites actuelles.

Une presse catalane en colère et abasourdie

« Un final cruel », titre Mundo Deportivo. De son côté, Sport parle d’un Barça « sans antidote » face à une nouvelle leçon parisienne. Ces mots trahissent une profonde désillusion : le club catalan, présenté comme un candidat sérieux au sacre, a été giflé par un PSG qui a prouvé qu’il avait plus de maturité et de caractère collectif.

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Flick forcé d’admettre la supériorité parisienne

Hansi Flick, l’entraîneur du Barça, n’a pas cherché d’excuses :

« Il n’y a pas lieu de penser qu’on était au niveau du PSG aujourd’hui », a-t-il reconnu, tout en promettant que son équipe retrouvera ce niveau.
Un aveu lourd de sens : Barcelone, malgré son talent, reste encore loin d’une machine collective comme le PSG.

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La presse madrilène jubile

En Espagne, le contraste est saisissant entre Barcelone et Madrid. Si les médias catalans encaissent le choc, ceux de Madrid jubilent. Marca évoque « une douche de réalité », tandis que AS souligne qu’un PSG « trop champion » a balayé les illusions barcelonaises. Une humiliation que les rivaux madrilènes n’ont évidemment pas manqué de souligner.

Luis Enrique et l’identité retrouvée du PSG

Pour Luis Enrique, cette victoire dépasse la simple performance :

« Peu importe les joueurs qui portent le maillot, nous jouons avec une identité », a déclaré l’Espagnol.
Avec une équipe rajeunie et diminuée, Paris a montré qu’il avait enfin une base solide, capable de faire plier n’importe quel adversaire européen.

Conclusion : le Barça piétiné, le PSG confirmé

Ce choc devait confirmer les ambitions catalanes. Il n’a fait que rappeler leurs faiblesses. Le PSG, au contraire, a envoyé un message fort à toute l’Europe : même sans ses stars, il est capable de s’imposer avec autorité. Pour Barcelone, c’est une véritable douche glaciale. Pour Paris, une confirmation éclatante.

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